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Les villes s’adaptent, et la crise sanitaire révèle plus que jamais l’importance de s’interroger sur la mixité des usages et des espaces pour gagner en résilience.

Sociologue urbaniste, Benjamin Pradel a travaillé dans la recherche universitaire sur les temporalités et les mobilités. Cofondateur d’Intermède, structure spécialisée dans l’occupation temporaire des bâtiments vacants, il est également consultant à Kaléido’scop.

Bruxelles n’est pas uniquement la capitale de la Belgique, c’est aussi la capitale de l’Europe et, par conséquent, un centre de pouvoir politique et économique majeur. Ce caractère cosmopolite et multiculturel dote la ville d’un effet d’attraction indéniable, à la fois sur les porteurs de projets qui recherchent une implantation stratégique internationale pour leurs entreprises, mais aussi sur les investisseurs venus du monde entier.

Les villes sont des lieux de vie, de travail et de déplacement. Selon l'ONU, la moitié de la population mondiale vit dans les villes, et ce nombre atteindra environ les 2/3 en 2050. Dans notre conception de la ville, il est important de nous réinventer : les espaces de bureaux doivent s’ouvrir et trouver un usage au bénéfice de la ville en journée, mais aussi le soir et le week-end.

Dans notre nouvelle étude "Smart Brussels", nous dressons un panorama complet de ces nouveaux leviers de compétitivité et de croissance que Bruxelles peut offrir. La capitale européenne compte plusieurs grands centres d'attraction économique.

D’ici le second semestre 2023, l’angle du 40 rue des Colonies et de la rue de la Chancellerie changera de visage et accueillera un tout nouvel immeuble de bureaux. Baptisée Chancelier et développée par Codic en collaboration avec le bureau d’architecture Archi 2000, cette opération immobilière Premium est d’ores et déjà commercialisée par BNP Paribas Real Estate Belgium. Direction le cœur de Bruxelles pour une visite virtuelle de ce projet tertiaire iconique.